lundi 22 novembre 2010
dimanche 21 novembre 2010
Madagascar
L'Ile Rouge traverse une grave crise politique... mais les Malgaches sont assez blasés. Aussi la tentative de putsch de mercredi n'a pas suscité beaucoup d'émoi dans la capitale: le jour du référendum avait été déclaré férié, il était calme comme un dimanche, et le lendemain les affaires ont repris, les marchés étaient fourmillants de monde, les rues de la capitale encombrées. C'est seulement sur la route de l'aéroport, à Ivato, que l'on pouvait voir une agitation inhabituelle de militaires en armes: les mutins s'étaient retranchés dans leur caserne. Ils se seraient finalement rendus. Mais beaucoup de questions restent en suspens sur la possible poursuite du processus démocratique, l'amnistie des anciens dirigeants (en particulier, ceux renversés en 2008, au premier chef Marc Ravalomanana, en exil en Afrique du Sud) reste la principale pomme de discorde.
dimanche 26 septembre 2010
Abattoir 5
Non ce n'est pas le titre d'un film d'horreur gore, c'est le titre d'un chef-d'oeuvre injustement oublié... inspiré d'un roman de Vonnegut (et, paraît-il, transposition fidèle, quasi scolaire de ce roman), Abattoir 5 est un film original, drôle et inspiré, qui parle de la guerre et de l'existence petite-bourgeoise en Amérique. Les acteurs sont excellents, les effets spéciaux touchants, et l'ensemble manie adroitement une alternance pourtant périlleuse entre poésie et humour décalé.
Billy Pilgrim est un jeune Candide projeté dans la guerre avec toute sa naïveté et sa fraîcheur, qui ne rêve pas d'héroïsme - il passera la guerre comme prisonnier - et s'inquiète peu de l'honneur - accoutré d'un manteau de femme que les soldats allemands lui ont donné, et de bottes argentées sorties de nulle part. Le film est un témoignage bouleversant sur Dresde, dont on voit la beauté avant le bombardement, et la dévastation après (d'ailleurs, il existe peu de films sur ce sujet, à ma connaissance, et les recherches internet font remonter "Abattoir 5" parmi les principales sources. Si vous en connaissez d'intéressantes, merci de les signaler en commentaire)
De retour de la guerre, Billy mène une vie plate dans sa "suburb", marié avec la fille de son professeur d'optométrie qui lui promet de faire un régime chaque fois qu'il lui offre un cadeau, père de deux enfants qui l'intéressent moins que son chien. Mais le présent est toujours entremêlé du passé, des amitiés de soldat, des inimitiés aussi, et du tragique bombardement de Dresde. S'entremêle aussi l'avenir, sous la forme fantastique d'une soucoupe volante et d'un enlèvement sur l'absurde planète Trafalmadore, un plateau télé où, pour le divertissement de spectateurs invisibles, Billy est sommé de s'accoupler avec une starlette hollywoodienne - ils s'en tireront honnêtement en fondant dans cette bulle une petite famille bourgeoise...
Le récit peut s'entendre à plusieurs degrés, comme un manifeste pacifiste (réalisé en pleine guerre du Vietnam, le film ne manque pas de le rappeler), comme une critique de l'American Way of Life, comme une dénonciation du spectacle aussi contre lequel les valeurs familiales petites-bourgeoises sont une antidote sûre. Finalement, plutôt que "cultive ton jardin", la morale ici serait "caresse ton chien, sois fidèle à ton ami, et exerce ton libre arbitre en acceptant de vivre avec une femme que tu n'as pas choisie".
(sur un ton totalement différent, mais explorant aussi ces domaines mystérieux de la mémoire et du traumatisme, qui interrompent le fil continu de l'existence, la brisent et la recomposent sous forme de mosaïque troublante, "Fragments d'Antonin" est un film magnifique)
samedi 31 juillet 2010
Retour sur l'Iran
... à l'occasion d'une exposition-performance à la maison des Métallos, par le collectif "Ruban Vert". Le vert, on l'aura retenu, est la couleur des partisans de Moussavi, puis de l'ensemble de l'opposition à Ahmadinejad lorsque ce dernier a confisqué les élections de juin 2009. Vert couleur de l'islam devenue si subversive, aux yeux des gouvernants de la république islamique, qu'elle en a été interdite, "lorsque nous nous sommes aperçus que la police surveillait qui achetait de la peinture verte dans les magasins, nous nous sommes mis à acheter du bleu et du jaune, et nous avons fait le mélange nous-mêmes".
L'exposition retrace, à travers de tels témoignages, les moments de la révolte populaire, les manifestations de rue, la répression, les arrestations ; mais surtout elle met en scène l'originalité du mouvement et sa créativité, à travers une mobilisation inédite du religieux et du technologique, de performances spontanées dont les artistes du collectif Ruban Vert se font les passeurs.
Mobilisation du religieux car les partisans de Moussavi (l'un des fondateurs de la République Islamique) revendiquaient explicitement leur légitimité religieuse contre Ahmadinejad et le guide Khamenei (lequel avait pris la place de Guide Suprême contre le successeur désigné de l'imam Khomeyni) ; parfois (et en particulier pour la jeunesse urbaine) cette mobilisation pouvait n'être qu'instrumentale : par exemple porter un portrait de Khomeyni sur soi pendant les manifestations pour n'être pas battu par la police; ou tenir avec soi son chapelet vert, comme le raconte l'un des artistes du collectif Ruban Vert dans l'exposition d'objets-témoins: "Quand je me retrouve face aux flics avec leurs bâtons et leurs habits effrayants, je sors mon chapelet, je le bouge devant leurs yeux et je récite mes prières. Après, quand les gens se réunissent et au moment de lancer les slogans, je le mets autour de mon poignet, et ainsi il devient mon bracelet vert". Dans le contexte iranien, cette mobilisation du religieux a un sens profondément révolutionnaire, renvoyant aux journées de 1979, lorsque le peuple criait "Dieu est grand" sur les toits pour dénoncer la bassesse de leur dictateur, lorsque l'appel à la transcendance visait à démasquer les supercheries du pouvoir temporel. L'installation sonore recréant l'ambiance des nuits de Téhéran par des hauts parleurs placés dans une chambre noire est un impressionnant témoignage vivant, transmettant non pas un document mais une expérience.
Mobilisation de la technologie aussi, car les citoyens d'Iran à qui l'on avait retiré le droit de cité, en leur volant leur vote, retrouvaient une voix dans les espaces publics virtuels d'internet (voir l'article de Libé): jamais un mouvement populaire ne fut autant filmé par ses participants, qui apportaient chacun leur point de vue à travers l'objectif de leur téléphone portable, et l'envoyaient comme témoignage au monde sur les sites et réseaux sociaux virtuels, en utilisant proxys et fausses adresses ip pour déjouer les censeurs du régime. Twitter et Facebook devinrent des hauts lieux de la mobilisation et de l'information, contournant les interdits. Le collectif Ruban Vert reprend ces matériaux (vidéos, messages twitters...) comme matière artistique à installations et performances. Les documents sont déroutants, mettent le spectateur-témoin en situation de "temps réel" étourdissant; surtout, ces installations et performances illustrent l'éclatement des "mass média" par les nouvelles technologies qui brisent l'unicité de la voix, démultiplient les angles et perspectives.
L'exposition retrace, à travers de tels témoignages, les moments de la révolte populaire, les manifestations de rue, la répression, les arrestations ; mais surtout elle met en scène l'originalité du mouvement et sa créativité, à travers une mobilisation inédite du religieux et du technologique, de performances spontanées dont les artistes du collectif Ruban Vert se font les passeurs.
Mobilisation du religieux car les partisans de Moussavi (l'un des fondateurs de la République Islamique) revendiquaient explicitement leur légitimité religieuse contre Ahmadinejad et le guide Khamenei (lequel avait pris la place de Guide Suprême contre le successeur désigné de l'imam Khomeyni) ; parfois (et en particulier pour la jeunesse urbaine) cette mobilisation pouvait n'être qu'instrumentale : par exemple porter un portrait de Khomeyni sur soi pendant les manifestations pour n'être pas battu par la police; ou tenir avec soi son chapelet vert, comme le raconte l'un des artistes du collectif Ruban Vert dans l'exposition d'objets-témoins: "Quand je me retrouve face aux flics avec leurs bâtons et leurs habits effrayants, je sors mon chapelet, je le bouge devant leurs yeux et je récite mes prières. Après, quand les gens se réunissent et au moment de lancer les slogans, je le mets autour de mon poignet, et ainsi il devient mon bracelet vert". Dans le contexte iranien, cette mobilisation du religieux a un sens profondément révolutionnaire, renvoyant aux journées de 1979, lorsque le peuple criait "Dieu est grand" sur les toits pour dénoncer la bassesse de leur dictateur, lorsque l'appel à la transcendance visait à démasquer les supercheries du pouvoir temporel. L'installation sonore recréant l'ambiance des nuits de Téhéran par des hauts parleurs placés dans une chambre noire est un impressionnant témoignage vivant, transmettant non pas un document mais une expérience.
Mobilisation de la technologie aussi, car les citoyens d'Iran à qui l'on avait retiré le droit de cité, en leur volant leur vote, retrouvaient une voix dans les espaces publics virtuels d'internet (voir l'article de Libé): jamais un mouvement populaire ne fut autant filmé par ses participants, qui apportaient chacun leur point de vue à travers l'objectif de leur téléphone portable, et l'envoyaient comme témoignage au monde sur les sites et réseaux sociaux virtuels, en utilisant proxys et fausses adresses ip pour déjouer les censeurs du régime. Twitter et Facebook devinrent des hauts lieux de la mobilisation et de l'information, contournant les interdits. Le collectif Ruban Vert reprend ces matériaux (vidéos, messages twitters...) comme matière artistique à installations et performances. Les documents sont déroutants, mettent le spectateur-témoin en situation de "temps réel" étourdissant; surtout, ces installations et performances illustrent l'éclatement des "mass média" par les nouvelles technologies qui brisent l'unicité de la voix, démultiplient les angles et perspectives.
mercredi 28 juillet 2010
A propos des Roms
Puisque la chasse aux Roms est lancée dans le pays, Sarkozy ayant décrété qu'il fallait expulser tous les campements illégaux, il est urgent de se poser un peu pour réfléchir... Les Tsiganes (souvent Roumains ou Bulgares) qui s'entassent dans la misère à la périphérie des villes ont bien mauvaise réputation ; ils font la manche, volent parfois, détournent l'électricité et squattent des terrains en friche. Leurs campements sont entourés d'ordures, leurs enfants ne vont pas à l'école. Ils sont dans l'imaginaire collectif les nouveaux barbares qui viennent envahir nos existences paisibles.
Comme les zonards qui peuplaient les marges de la ville (déplacés de l'exode rural, migrants politiques ou main-d'oeuvre en quête de labeur, vivaient dans la fange et acceptaient des conditions terribles dans l'espoir qu'un jour les lumières de la métropole brilleraient pour eux, les Tsiganes sont les laissés-pour compte des mutations politico-économiques de l'Europe. Ce n'est pas la Roumanie (ni la Bulgarie) qui peut résoudre le "problème rom", et ce ne sont pas les expulsions qui mettront fin à l'afflux de populations miséreuses qui cherchent par la mendicité à simplement survivre. Il n'est pas question ici de faire de la victimologie, de ne traiter les tsiganes que comme les victimes d'un racisme séculaire qui les maintient à l'écart ; prendre en compte le poids de l'histoire, pourtant, n'est pas inutile lorsqu'il s'agit d'une population toujours stigmatisée, réduite en esclavage jusqu'au 19e siècle en Roumanie, déportée par les Nazis, et déstructurée par l'entreprise communiste de création d'un homme nouveau. On comprend que les Tsiganes se méfient du système, des institutions, et des "gadjé", ces autres toujours un peu menaçants. Leurs formes de résistance sont aussi de l'auto-exclusion. Mais le sort de leurs communautés à la dérive dans l'archipel des métropoles européennes ne peut être résolu simplement par des manoeuvres policières. Ce serait de la violence gratuite, indécente de la part de l'Etat, et déplacée lorsqu'il s'agit de répondre à un fait divers qui n'a rien à voir avec ces populations migrantes.
(photo: bords du canal de l'ourcq, mardi 27 juillet 2010)
mardi 20 juillet 2010
Jeu concours de l'été
dimanche 20 juin 2010
billet de politique fiscale (les retraites)
Mes lecteurs jadis fidèles regretteront que je ne fasse plus que relayer très ponctuellement certains textes qui retiennent mon attention. Le précédent était humoristique, celui qui vient ici est plus sérieux et technique. Mais je trouve qu'il mérite d'être lu. Le scandale sur le cumul des retraites dorées de nos ministres convaincra peut-être les sceptiques de réfléchir à ces propositions.
(extrait du rapport de la fondation Terra Nova sur les retraites ; les caractères gras sont de moi )
Pour lire la suite: site de Terra Nova
(extrait du rapport de la fondation Terra Nova sur les retraites ; les caractères gras sont de moi )
Quel est le niveau de vie que la collectivité veut garantir aux retraités ? Historiquement, le système français les a sortis de la pauvreté, puis leur a fourni un revenu de remplacement pour aujourd’hui, implicitement, viser la parité de niveau de vie. Le rapport propose de fixer explicitement cet objectif de parité et de le garantir pour aujourd’hui et pour demain. C’est un objectif de haut niveau, légitime : la retraite est désormais un temps de la vie à part entière, la parité garantit aux retraités qu’ils pourront profiter de ce temps dans les mêmes conditions que lorsqu’ils étaient actifs.
Sur la base de cet objectif de parité, on peut décliner les grandes décisions paramétriques à prendre.
A court terme, tout d’abord, nous nous situons dans une situation historique exceptionnelle : le niveau de vie moyen des retraités d’aujourd’hui est légèrement supérieur à celui des actifs (106%). Le système français, en quelque sorte, « surperforme ». La logique est donc de faire contribuer les retraités aisés d’aujourd’hui, au même titre que les actifs, au bouclage financier du système. C’est une idée iconoclaste car nos représentations collectives sont ancrées dans le monde d’hier, où les pauvres dans notre société, c’était les retraités. Ce n’est plus le cas : les pauvres aujourd’hui, ce sont les jeunes actifs, avec un taux de pauvreté à 12% contre moins de 4% pour les retraités. La logique est également de ne pas mettre à contribution les salaires : le niveau des cotisations en France est déjà élevé (un taux apparent de 28.8% contre par exemple 16% en Suède) ; et une hausse des cotisations aboutirait à une baisse relative supplémentaire du niveau de vie des salariés. Les recettes complémentaires devront être trouvées ailleurs que sur les salaires, notamment dans la taxation du patrimoine : elle met à contribution toutes les générations (et pas les seuls actifs[4]) et en appelle à la solidarité des Français les plus aisés.
A long terme, en revanche, les pensions relatives vont régresser. Si rien n’est fait, le niveau de vie relatif des retraités va descendre à 78% en 2050. Ce serait la « double peine » pour les actifs d’aujourd’hui : des efforts importants pour maintenir les retraites d’aujourd’hui à un niveau élevé, et leur propre retraite amputée demain. L’objectif de parité commande que les efforts supplémentaires de réforme ne pèsent pas sur le paramètre « niveau de pension » : ce sera aux actifs de demain de les porter. Il nécessite aussi des mesures de soutien pour les retraites à venir des classes moyennes et populaires.
3. Concrètement, pour répondre au besoin de financement à court terme, le rapport propose :
- L’alignement de la fiscalité des retraités aisés sur les actifs. Les retraités bénéficient d’une fiscalité dérogatoire : ils acquittent un taux réduit de CSG (6.6%, voire 3.8% ou même 0, contre 7.5% pour les actifs), bénéficient d’un abattement pour frais professionnels à l’impôt sur le revenu, ainsi que de diverses exonérations fiscales. Ces dérogations étaient légitimes dans le monde d’hier, où les retraités étaient pauvres. Elles ne le sont plus aujourd’hui, puisque les retraités sont en moyenne aussi « riches », voire même un peu plus, que les actifs. Est-il normal qu’Antoine Zacharias, titulaire d’une retraite-chapeau de 2.5 millions d’euros par an, acquitte une CSG au taux de 6.6%, inférieure à un travailleur au smic qui doit supporter un taux de 7.5% ? Est-il normal qu’un foyer de retraités à 4.000 euros par mois ait droit à un abattement professionnel à l’impôt sur le revenu alors que le travailleur au smic, qui lui expose des frais professionnels pour aller travailler, n’en bénéficiera pas[5]? Bien évidemment, il reste des retraités pauvres et il n’est pas question de toucher au pouvoir d’achat des petites retraites. Un alignement fiscal des seuls retraités aisés sur les actifs rapporterait plus de 5 Md€ par an.
- La taxation des niches sociales. Ces niches poursuivent des objectifs sociaux et économiques mais elles ont un coût prohibitif : elles font perdre 60 Md€ par an de recettes à la sécurité sociale. Le rapport propose de taxer les niches les moins légitimes, notamment celles qui fournissent des compléments de revenus à aux hauts salariés (stock options, actions gratuites, intéressement, participation, indemnités de départ), à certains métiers (mannequins, commis de bourse…) ou encore les heures supplémentaires. Ces mesures permettraient de dégager 6.6 Md€ par an.
- La taxation des revenus du capital (majoration de la CSG « patrimoine »). Le maintien d’un financement quasi-exclusif des retraites par des cotisations assises sur les salaires ne se justifie plus. Une part significative du pouvoir d’achat des ménages provient de revenus non salariaux d’origine patrimoniale (revenus fonciers et financiers) : il n’est pas illogique de les mettre à contribution, en considérant la retraite comme un « revenu global différé » et non plus comme un « salaire différé ». Une fiscalisation (partielle) des recettes permettrait d’accroître la redistributivité du système. Le rapport propose une hausse de la CSG « patrimoine » de 8.2% à 10%, ce qui rapporterait 2.5 Md€ par an.
Ces solutions permettent de rapporter immédiatement 14.4 Md€, soit les trois-quarts du besoin de financement à court terme du système.
Pour lire la suite: site de Terra Nova
samedi 15 mai 2010
Billet d'humour
Mes Salutations
Je suis Mr Luis Perez ,ancien agent de police à l'île
Maurice. Durant ma carriere de policier,j'ai eu à effectuer des trafics
illégales dans le domaine de la drogue et des armes .En ce moment là,tout mes
virements bancaire se faisaient dans mon compte bancaire dans un pays de
l'Afrique de l'ouest appelé le Benin à l'aide de l'ex Président de la
république Générale "MATHIEU KEREKOU" qui à chaque virement avait son
pourcentage.
Suite à mon état critique due au cancer de poumon,il m'est été
conseillé par le père de mon église après confession de faire une charité avec
une grande partie de ce fonds dont je dispose dans cette banque Beninoise à de
différente personnes dans presque tout les pays du monde afin que le seigneur
pardonne mes péchés.
C'est ainsi que je me sert du net pour contacter les
chanceux qui bénéficieront gratuitement d'un chèque de 45.000 € dont vous
faites partie. Au nom du seigneur créateur du ciel et de la terre,cette somme
vous aidera à réglementer une bonne partie de vos problèmes financiers.
Je
vous annonce que j'ai eu à contacter un avocat financier du nom de Me AJAVON
NESTOR. Ce dernier ayant une bonne foie a eu à signé un contrat d'accord de
partenariat financier avec moi. Je vous annonce que vous n'aurez pas à payer
son honoraire en avance car il a été dit au numéro 05 de la page 03 du contrat
que: 05- Les tarifs total des honoraires de course s'élèveront à 650€ et ne
doivent être payés par le bénéficiaire après la réception du chèque et
l'échange entre les deux banques.
Je vous prie de prendre contact avec cet
avocat du nom de Maître Ajavon Nestor pour réclamer votre chèque car je parts
pour les USA dès ce soir pour continuer mes soins.
Maître : Ajavon Nestor
Mail : cabinetsgconseils@gmail.com
TEL: 0022993050582
ADRESSE
: AVENUE JEAN-PAUL II ,03 BP 0052 COTONOU BENIN
Très sincèrement
Mr Luis
Perez
Je suis Mr Luis Perez ,ancien agent de police à l'île
Maurice. Durant ma carriere de policier,j'ai eu à effectuer des trafics
illégales dans le domaine de la drogue et des armes .En ce moment là,tout mes
virements bancaire se faisaient dans mon compte bancaire dans un pays de
l'Afrique de l'ouest appelé le Benin à l'aide de l'ex Président de la
république Générale "MATHIEU KEREKOU" qui à chaque virement avait son
pourcentage.
Suite à mon état critique due au cancer de poumon,il m'est été
conseillé par le père de mon église après confession de faire une charité avec
une grande partie de ce fonds dont je dispose dans cette banque Beninoise à de
différente personnes dans presque tout les pays du monde afin que le seigneur
pardonne mes péchés.
C'est ainsi que je me sert du net pour contacter les
chanceux qui bénéficieront gratuitement d'un chèque de 45.000 € dont vous
faites partie. Au nom du seigneur créateur du ciel et de la terre,cette somme
vous aidera à réglementer une bonne partie de vos problèmes financiers.
Je
vous annonce que j'ai eu à contacter un avocat financier du nom de Me AJAVON
NESTOR. Ce dernier ayant une bonne foie a eu à signé un contrat d'accord de
partenariat financier avec moi. Je vous annonce que vous n'aurez pas à payer
son honoraire en avance car il a été dit au numéro 05 de la page 03 du contrat
que: 05- Les tarifs total des honoraires de course s'élèveront à 650€ et ne
doivent être payés par le bénéficiaire après la réception du chèque et
l'échange entre les deux banques.
Je vous prie de prendre contact avec cet
avocat du nom de Maître Ajavon Nestor pour réclamer votre chèque car je parts
pour les USA dès ce soir pour continuer mes soins.
Maître : Ajavon Nestor
Mail : cabinetsgconseils@gmail.com
TEL: 0022993050582
ADRESSE
: AVENUE JEAN-PAUL II ,03 BP 0052 COTONOU BENIN
Très sincèrement
Mr Luis
Perez
mardi 12 janvier 2010
Bonne année
Longs mois de silence, ce sont des histoires qui mûrissent, patience encore. En attendant, je souhaite une merveilleuse année 2010 à tous mes lecteurs, réguliers ou occasionnels.
Et pour commencer l'année, un lien vers un texte publié sur La Vie des Idées, pour prolonger le débat sur religion et politique (le débat français, l'Iran, c'est autre chose...)
Et pour commencer l'année, un lien vers un texte publié sur La Vie des Idées, pour prolonger le débat sur religion et politique (le débat français, l'Iran, c'est autre chose...)
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